Voici une invitation à répondre à l'appel des syndicalistes de l'Aube à rejoindre le front de gauche.
Il suffit de cliquer sur le bouton "signer la pétition", juste à droite, vous y trouverez le texte de l'appel.
Et vous serez invité à renseigner les différents champs.
Merci d'indiquer votre nom, il ne sera pas public, seul votre prénom apparaitra, et nous vous serions reconnaissants de renseigner également votre email (qui ne sera pas publié) et votre adresse (seule la localité apparaitra sur la liste des signataires).
Bonjour, camarades, Je vois que vous êtes en passe d'accomplir une prouesse électorale... Personnellement, je suis indépendant sur le plan politique et prolétaire du journalisme dans ma vie professionnelle. Je sais une seule chose dans la vie : je vais me retrouver dans la rue d'ici à quelques années. Malheureusement, je ne crois pas que vous pouvez faire quelque chose pour moi... Tout se joue sur le plan relationnel et vous pouvez mettre le smic à 1700 euros, relever les minimas sociaux, à mon avis, on ne sort pas de la misère, on en crève. Cela étant dit, bon courage si vous souhaitez apporter du bonheur sur cette terre. A la vôtre, Pascal Djemaa.
RépondreSupprimerBonjour Pascal,
SupprimerJ'espère que ton "dans la rue" n'est pas à prendre au sens propre, et que tu veux seulement dire : "privé d'emploi"... ce qui n'est pas le bonheur, certes, mais est un cran en dessous du sort d'un "sans-abri".
Bon, le pari du Front de Gauche n'est-il pas celui d'une vraie relance de l'économie dans ce qu'elle a de plus vivant? : pas de la seule et sacro-sainte "Kroi$$ance"...
Alors, on espère tous, et on vote POUR un effet boule de neige !
Que la relocalisation des industries, de l'agriculture... Que le développement des services publics... Que les chantiers ouverts dans le cadre de la planification écologique... Que le soutien aux TPE-PME... Que le développement d'entreprises coopératives, et bien tout ça mis bout à bout, ça fasse un paquet d'emplois pour le plus grand nombre... à commencer par toi, Pascal, si hélas tu devais perdre le tien !
On lâche rien... on lâche rien...
A bientôt "dans la rue" : au 1er mai, et pour toutes les mobilisations à venir
(Car on sait aussi qu'aucune élection, aucun homme providentiel jamais ne règlera seul tous les problèmes)
Xavier